Anita Rossier Maître praticienne certifiée en hypnose ericksonienne

Anita Rossier

Maître Praticienne certifiée en hypnose ericksonienne
Praticienne certifiée en santé par le toucher
Coach émotionnel


078 808 40 42

info@anizen.ch


Ricardo Rojas Maître praticien certifié en hypnose ericksonienne

Ricardo Rojas

Maître Praticien certifié en hypnose ericksonienne
Coach spécialisé dans la haute sensibilité
et les pathologies de l’hypersensibilité


078 848 74 50

ricardo@anizen.ch

Troubles anxieux


Les événements de la vie, lorsqu’ils sont imprévus ou nouveaux, demandent au corps et à l’esprit une adaptation. Même si cela comporte un stress, ces événements sont bénéfiques car ils nous motivent et donnent du piment à notre vie.

Toutefois, lorsque le nombre d’événements stressants est trop important, ou lorsque l’expérience est douloureuse ou non désirée, cela peut conduire à des phénomènes d’anxiété, d’abord aigue elle peut se transformer en un trouble chronique que l’on appelle « trouble anxieux généralisé ». 

A ce moment-là l’anxiété est quasi permanente, il devient difficile de la reliée à un facteur déclenchant tant le corps est soumis aux hormones du stress, tel que le cortisol par exemple. S’en suivent des problèmes de sommeil, de digestion, d’immunité, et un déclin général de l’état de santé physique et mental. 

Une anxiété chronique ou aigue peut également survenir des suites d’un ou plusieurs traumatismes, d’une période de profond questionnement, des suites d’un deuil mal vécu ou de facteurs spirituels. 

Dans le cas spécifique de la haute sensibilité, le risque de traverser un épisode anxieux au cours de l’existence est accru de par la condition neurologique en lien avec cette condition. Le système nerveux étant très efficient, les stimuli intenses, une amygdale plus facilement activée, la tendance au questionnement existentiel accrue, le système nerveux sera plus sujet à un épuisement, donnant alors lieu à divers troubles dont l’anxiété fait partie. 

Les symptômes en lien avec une anxiété pathologique, c’est-à-dire qu’elle ne disparaît pas après l’événement stressant, sont divers et variés, et notamment : 

  • fatigue 
  • troubles du sommeil 
  • maux de tête 
  • étourdissements, vertiges ou impression d’évanouissement imminent 
  • nausées 
  • diarrhée ou inconfort abdominal 
  • palpitations cardiaques ou accélération du rythme cardiaque 
  • sensation d’étouffement ou d’étranglement 
  • transpiration excessive  bouffées de chaleur ou, au contraire, frissons 
  • pression sanguine élevée 
  • tremblements ou secousses musculaires parfois généralisées à tout le corps 
  • serrements et douleurs à la poitrine 
  • sentiment d’irréalité et de perte de contrôle 
  • engourdissements ou picotements 
  • difficulté à se concentrer 
  • sentiment d’inquiétude 
  • peur de mourir 

Cette conférence pourra peut-être vous en dire plus sur les causes et les solutions.


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Dépression


La dépression se manifeste par une humeur triste constante, une perte d’intérêt pour toute activité et une baisse d’énergie. Ces symptômes sont accompagnés d’une diminution de l’estime de soi et de la confiance en soi, d’une culpabilité injustifiée, de difficultés à se concentrer, de troubles du sommeil, d’une perte de l’appétit et du désir sexuel, de douleurs physiques et/ou parfois d’idées de mort et de suicide. La dépression a des conséquences importantes sur tous les aspects de la vie sociale, familiale, affective ou professionnelle. 

Elle peut être légère et de courte durée. La dépression est plus importante quand elle a des conséquences sur la vie quotidienne qui durent (perte du goût à faire certaines choses que l’on faisait avec plaisir avant, ne plus avoir envie de voir des amis, tristesse qui dure sans raison, etc.). 

On parle de dépression sévère quand la personne n’est plus capable de fonctionner normalement. Elle devient parfois chronique avec des épisodes pouvant durer entre 6 mois à une année, parfois plus longtemps, et revenant régulièrement. 

La dépression peut également résulter d’une période d’épuisement, d’une perte de sens ou d’un deuil non résolu. Dans le cas spécifique de la haute sensibilité, elle est également un des risques courant liés au terrain neuro-biologique, renforcé par un très fort besoin de sens. 

Cette conférence présente les causes et solutions de traitement pour la dépression en lien avec la haute sensibilité.


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Stress post-traumatique


Le terme « stress » est utilisé très couramment, mais sa définition reste parfois floue. Il est communément admis toutefois qu’il s’agit d’une réponse physiologique de l’organisme à une contrainte. Les réactions physiologiques du corps permettre à l’individu de mobiliser toutes ses ressources physiques et mentales afin de répondre à cette contrainte.

Dans une certaine mesure, qui dépend de chaque individu, le stress est bénéfique, il permet de nous motiver, de nous structurer, et de nous dynamiser. Lorsque le stress n'est plus présent, l'ennui prendra inéluctablement le dessus. Dans le cas où le stress se prolonge, où s’il est d’une intensité trop élevée (accident violent, viol, agression physique, etc), les ressources physiologiques et psychiques de la personne sont dépassées. Les surcharges en hormones du stress pouvant être fatale pour l’individu, le corps dispose alors d’un mécanisme d’urgence permettant à l’individu de survivre à l’événement traumatique, en établissant un court-circuit entre le cerveau émotionnel et le cortex préfrontal. La personne traverse l’événement sans le vivre réellement, comme si elle était en état « dissocié », créant ainsi ce qu’on appelle une mémoire traumatique.

Ce mécanisme de défense, s’il permet la survie de l’individu, aura à court, moyen ou long terme des conséquences délétères pour la santé physique et mentale de l’individu, on parle alors de trouble de stress post-traumatique (TSPT)

Il existe deux types de troubles de stress post-traumatiques :

  • Le TSPT simple, qui est une réponse aiguë à un événement précis
  • Le TSPT complexe, qui est une réponse plus diffuse à des traumatismes répétés (maltraitances multiples durant l’enfance par exemple)

Les symptômes observables sont des réactions physiologiques et émotionnelles qui sont réactivées lors de situations présentant une similarité avec l’événement initial, la personne peut avoir des flash backs ou des rêves en lien avec l’événement traumatisant.  

Dans les cas les plus sévères, la personne adoptera alors des comportements d’évitement, elle souffrira de pensées limitatives, négatives et parfois obsessionnelles, et perdre confiance en elle. Les conséquences pour la vie sociale, professionnelle ou familiale peuvent être importantes, la personne ne fonctionnera plus normalement ou au prix d’une anxiété importante. 

En règle générale, les symptômes suivent l’événement traumatique, ou surviennent jusqu’à une durée de 3 mois après l’événement. Toutefois, dans certains cas les symptômes surviennent plusieurs années après l’événement. 

Les signes caractéristiques d'un trouble stress post-traumatique sont :  

  • un sentiment de peur intense, d’horreur et d’impuissance accompagné de symptômes physiologiques  
  • des flash-backs 
  • des pensées incontrôlables pouvant conduire à un état dépressif 
  • une asthénie
  • une inhibition émotionnelle ou une hypersensibilité émotionnelle
  • des troubles de la concentration 
  • des troubles du sommeil 
  • une hypervigilence
  • des comportements d’évitement

Les techniques d'hypnose et les mouvements oculaires sont connues pour apporter un soulagement significatif dans ce type d’affection. Nous sommes en mesure de vous aider à soulager vos symptômes.


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Addictions


L’addiction, synonyme de dépendance, se traduit par un comportement irrépressible, au-delà de la volonté de l’individu, malgré ses efforts et sa motivation, et qui est délétère pour sa santé physique ou mentale. Préalablement aux dernières recherches dans le domaine, le comportement addictif était associé à une personnalité peu volontaire, il s’avère aujourd’hui que des mécanismes complexes impliquant notamment le système de récompense avec des composantes neuro-biologiques génétiques et héréditaires seraient en jeu.

Il existe une palette importante d’éléments auxquels un individu peut devenir dépendant, en particulier dans notre société de consommation: alcool, drogue, tabac, jeux d’argent ou jeux vidéo, masturbation et pornographie, nourriture, achats, téléphone portable. Cette addiction peut également être d’ordre affectif, c’est alors à une personne que l’on devient dépendant, et non à une substance, ou plutôt à une recherche de sensation forte que seule cette personne nous fera ressentir, même si cela nous expose à des liens toxiques et destructeurs pour notre propre estime. 

La personne recherche le plaisir procuré par ce comportement, en dépit des risques pour sa santé et son équilibre familial, professionnel et social. Dans les cas les plus grave, une addiction peut conduire à des symptômes de manque importants, la conduisant à se mettre en danger et à s’isoler relationnellement et socialement. Elle sera alors emprisonnée dans un engrenage duquel il deviendra très difficile de sortir, cette recherche de plaisir permettant de compenser un besoin vital pour la personne.

Ce besoin, lorsqu’il est identifié et rempli d’une manière plus saine pour l’individu, l’addiction prend alors fin et la personne peut retrouver une vie normale, et un équilibre psycho-émotionnel sain. 

Au Centre Anizen nous abordons alors l’addiction comme étant une stratégie inconsciente de l’individu pour répondre à un besoin essentiel, tel que:

  • Besoin de prendre de se détendre,
  • Besoin de se soustraire de contraintes trop pesantes,
  • Besoin de lâcher prise,
  • Besoin d’espace
  • Besoin de retrouver du sens à la vie
  • Besoin d’espoir, et bien souvent de connexion au divin, ou à une certaine forme de spiritualité.

Tout l’enjeu consistera à accompagner la personne afin qu’elle puisse prendre conscience du mécanisme inconscient, du besoin qu’il comble et de lui donner les outils permettant d'adopter une nouvelle stratégie plus en adéquation avec son équilibre psychique et physique. Toute tentative de se soustraire d'une addiction sans répondre au besoin initial sera vouée à l'échec ou à l'adoption par l'inconscient d'une nouvelle addiction.

La condition neurobiologique de la haute sensibilité (modifications au niveau des systèmes sérotoninergiques et dopaminergique) expose cette population à un risque accru de développer une dépendance. Toutefois, un accompagnement avec des techniques faisant appel à des états de conscience modifiée ont démontré un effet significatif bénéfique dans le traitement des addictions. 


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Dépendance affective


La dépendance affective est une forme d’addiction, où la personne comble un besoin d’affection au risque de négliger ses besoins psycho-émotionnels. Une certaine forme de dépendance est inhérente à toute relation durable, toutefois lorsqu’elle péjore la qualité de vie de la personne en provoquant une souffrance durable et la mettant dans l’incapacité de se soustraire de l’emprise de la relation. Cette relation peut alors être considérée comme toxique.

Les causes sont multiples, et prennent généralement racine dans l’enfance, même si pour des raisons complexes toute relation pourrait évoluer vers une dynamique toxique. Une rupture amoureuse mal gérée générant une peur de revivre certaines souffrances, le manque de confiance et la tendance à la sur-adaptation sont des facteurs de risque importants qui conduisent souvent les personnes à entrer et rester dans des relations qui engendre pour elle un stress intense.

Les symptômes sont divers et variés, et surviennent de façon parfois pernicieuse. Subtiles au début, certains signes parfois ignorés sont les prémices d’une relation à dynamique perverse. Au moment du paroxysme, lorsque la séparation est devenue inévitable, de très fortes souffrances psychiques et parfois physiques s'ensuivent, laissant la porte ouverte à d’autres dépendances (drogue, alcool, nourriture, etc). 

La condition hautement sensible et souvent concernée. Selon mon expérience, ceci s’explique notamment par un manque de compréhension de leur condition, un excès d’idéalisme et une incapacité à se protéger et à poser des limites. Elles doutent facilement, se remettent en question et négligent voir même ignorent leurs besoins.

Pour en savoir plus, cette vidéo présente les mécanismes fréquents en cause dans la relation toxique.

Etant elles-mêmes en quête d’un monde meilleur où l’harmonie règnerait, elles sont souvent démunies face à la malveillance et la toxicité de certaines relations. Une tendance à la sur-responsabilisation les poussera à compenser, à arrondir les angles, à accepter l’inacceptable parfois, par peur du conflit et par besoin déséquilibré de lien et de partage.

Si toutefois elles osent poser des limites elles auront peur de blesser ou de décevoir, ce qui les enferme dans une cage de contraintes. Elles auront tendance à donner sans compter, dans le déni du manque d’équilibre de la relation. Ceci est un piège courant constituant une porte ouverte à la manipulation.

Le chemin vers la guérison passe alors par le dénouement des mécanismes inconscients et des fausses croyances dont la personne est porteuse afin de l’amener vers une relation saine à elle-même, la capacité à identifier les signes alarmants, à lui donner des outils pour se respecter et entretenir non pas une harmonie à tout prix mais un équilibre, dans une partage mutuel de la responsabilité de la relation.

La compréhension de leur condition et de leur vision du monde propre est une clef indispensable pour vivre heureux(se) dans le monde qui nous entoure, où la sensibilité est souvent vue comme une vulnérabilité parfois utilisée à notre insu. 

Ne restez pas seul face à votre problématique. La honte est le plus grand frein à la guérison. Osez demander de l'aide et prenez contact avec nous.


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Insomnies



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L’insomnie est un trouble du sommeil impactant le sommeil de façon qualitative et/ou quantitative, lorsque celui-ci est en déficit. Il peut être difficile à atteindre, non-réparateur, insuffisant, entrecoupé. Le trouble du sommeil nécessite un traitement lorsqu’il court sur une moyenne à longue durée et qu’il s’accompagne de fatigue et somnolence durant la journée, pouvant conduire à des troubles de la mémoire et de la concentration.

Ces troubles sont très fréquents, on considère en effet que 10% des individus auront recours à une médication dans le but d’améliorer leur sommeil, ponctuellement ou quotidiennement.

Les causes conduisant des troubles du sommeil dont l’insomnie fait partie sont diverses. Parmi elles on compte l’anxiété, la dépression et la rumination qui sont des facteurs déclencheurs importants et fréquents chez les personnes à haute sensibilité. Les troubles hormonaux en lien avec des perturbations du cycle menstruel sont parfois également en cause.

Leur mode de pensée en arborescence et leur tendance à la sur-stimulation les rend vulnérables au stress et à l’épuisement neurologique, générant déprime et anxiété. Ayant de plus une tendance au perfectionnisme et au contrôle, le lâcher prise nécessaire à l’endormissement peut représenter pour les hypersensibles un véritable obstacle, pouvant même les amener à redouter le moment du coucher, même au plus jeune âge.

Au centre anizen, notre expertise de la médiumnité a mis en lumière un nombre considérable de troubles du sommeil en lien avec des perceptions subtiles et énergétiques. Les nuits de pleine lune, la présence de défunts, des mémoires ou des perturbations géobiologiques peuvent conduire à d’importants troubles du sommeil, difficiles à identifier et à remédier, sans une compréhension approfondie des influences du monde subtil sur notre organisme.

Qu’il s’agisse d’une difficulté à faire taire le mental, d'une phobie de l’endormissement ou de perturbations énergétiques, l’hypnose permet de désamorcer les mécanismes inconscients afin de retrouver un sommeil sain et profond. Elles sont parmi les plus sûres et les plus efficaces.

Une problématique en lien avec le sommeil est souvent multi-factorielles, et a des conséquences à court, moyen et long terme. Afin de prévenir au mieux les divers céeuils, et d'assurer la meilleure qualité de vie pour vous et votre entourage, il est important d'avoir une excellente récupération et un sommeil réparateur. N'hésitez pas à faire appel à nous pour vous conseiller.

Troubles alimentaires


Les troubles alimentaires sont de diverses natures, mais comportent tous un rapport inapproprié à la nourriture, à l’image de soi et au poids. Les habitues et comportements malsains deviennent envahissants et affectent dans les cas les plus sévères l’ensemble des sphères de l’individu, celui-ci mettant ses obsessions alimentaires au centre de son existence.

Les principaux troubles alimentaires sont l’anorexie, la boulimie et l’hyperphagie boulimique, mais il en existe d’autres. Au cours de l’existence ces troubles peuvent évoluer en type et en intensité.

Les causes derrière les troubles de l’alimentation sont multifactorielles, et dépendant à la fois de facteurs génétiques et biologiques, environnementaux, psycho-émotionnels et fonctionnels. Dans un processus de guérison tous ces aspects doivent être considérés, une approche pluridisciplinaire est souvent conseillée pour les cas les plus graves.

Dans le cadre de sa psychologie particulière, et de son terrain neurobiologique, le risque de développer un trouble de l’alimentation chez une personne hypersensible est important. Que ce soit par souci de perfectionnisme, par manque d’estime de soi, pour combler un vide et ou par déplacement émotionnel, le vécu intense de la personne sensible la rend vulnérable dans sa relation à la nourriture. 

Ces troubles sont une véritable souffrance psychique pouvant avoir de graves conséquences pour la santé voir le pronostic vital, et qui mérite d’être adressée quelle que soit son ampleur. La honte étant toutefois un frein important à la bonne prise en charge de cette affection.

Demander de l'aide est le premier pas, et certainement encore le plus difficile à faire sur le chemin de guérison. Faites-vous ce cadeau aujourd'hui, nous sommes heureux de vous soutenir sur votre parcours.


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Phobies


Peur irrationnelle et excessive, la phobie est une crainte anormale d’un objet ou d’une situation, d’un animal ou d’une activité particulière et se manifeste par l'apparition systématique et immédiate d'une peur intense et incontrôlable. La phobie est un trouble anxieux qu’il faut distinguer de la peur qui est une réponse naturelle causée par un danger réel. Pouvant devenir pathologique lorsqu'elle entraîne une souffrance importante chez le patient et a pour conséquence une détérioration significative de sa qualité de vie. Elle est considérée comme invalidante lorsque le patient doit mettre en place des stratégies afin d’évitement de l’objet de sa peur. 

Le trouble phobique peut revêtir de multiples formes. Que ce soit la peur de prendre l'avion, la peur des araignées (arachnophobie) ou la peur de la foule (agoraphobie), la claustrophobie qui se traduit par la peur des lieux clos, ou de la phobie sociale qui est une crainte des relations sociales et du jugement des autres, les phobies sont répandues et affectent entre 5% et 12% de la population donc près d’une personne sur dix. 

Les personnes atteintes de phobie savent généralement que leur peur est irrationnelle, mais ils ne peuvent pas la contrôler, car c’est plus fort qu’eux. Elles peuvent être terrifiée à l'idée d'être confrontées à la situation ou à l'objet redouté, ce qui peut générer une anxiété chronique pouvant parfois évoluer en crises d’angoisses ou en attaques de panique. Lorsque l’anxiété devient permanente, la personne phobique adoptera des conduites d’évitement ou de réassurance en demandant à un tiers d'être présent dans le but d’être rassurée. 

Les symptômes les plus courants sont : 

  • une augmentation du rythme cardiaque 
  • des bouffées de chaleur 
  • une sudation inhabituelle 
  • une hyperventilation 
  • des sueurs froides 
  • des vertiges, un malaise 

On distingue les phobies simples ou spécifiques des phobies complexes, dont l’objet se situe dans un contexte social. Alors que les phobies simples, concernent un objet précis ou une situation particulière, les phobies complexes trouvent généralement leur origine dans une peur du regard et du jugement d’autres personnes.

Les techniques que nous utilisons sont connues pour apporter un soulagement significatif dans ce type d’affection. Prenez contact avec nous pour en savoir plus.


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Accompagnement du deuil


Le deuil est douleur (si on se réfère à la racine latine : dolore qui veut dire souffrir). Le deuil est une crise profonde dans l'existence de l'individu qui se voit priver d'une personne chère, d'une relation, d'un travail, d'une situation à laquelle il était attachée. C’est une expérience unique que chacun vivra au cours de son existence, ce qui la rend universelle à la fois.

Traverser le deuil c'est accueillir la vie dans son ensemble, c'est également une opportunité de se reconstruire et de revoir entièrement sa vision du monde. C'est une occasion de se poser les grandes questions existentielles et d'apaiser nos plus grandes peurs, la peur de mourir et la perdre de perdre l'amour.

Pour une personne sensible, le deuil est séparation, et séparation est synonyme de mort intérieure. L'hypersensible aura le sentiment de perdre une partie de lui-même, de son identité. Qu'il s'agisse de la perte d’un être cher, d'une rupture amoureuse ou amicale, cette perte le mettra face à des émotions intenses difficiles à accueillir. S'en suivra souvent une tendance à radopter des mécanismes de fuite et d’évitement afin d’éviter toute nouvelle confrontation à ses intenses ressentis.

Il est communément admis que le deuil se déroule en 5 étapes, qui ne sont pas obligatoirement suivie dans cet ordre: 

1. Le choc / le déni 

2. La colère 

3. Le marchandage 

4. La dépression/la tristesse 

5. L'acceptation 

Il s'agira de faire le deuil de la vie que l'on a connue pour adopter celle qui nous est proposée. L'étape de l'acceptation comportera des motivations nouvelles à entreprendre des projets, la naissance de nouveaux rêves. L'être cher est toujours dans nos pensées, mais la vie reprend ses droit.

Chaque étape est vécue à sa façon, aura une durée et une intensité variable, en fonction de l'individu et de son attachement, mais surtout à sa capacité à accueillir les émotions en lien avec ces différentes étapes. Dans le cas de la perte d'un être cher, des questions existentielles seront alors mises en lumière, pouvant conduire à un développement personnel inattendu, même s'il survient suite à un événement très douloureux.

Nous pouvons vous soutenir dans cette épreuve que vous traversez afin que vous puissiez retrouver la paix, le goût de vivre, reconstruire votre existence. La médiumnité est également un outil très puissant pour guérir la douleur de la perte d'un être cher, nous nous proposons de vous aider à entrer en communication pour garder le lien avec ceux que vous aimez, même si leur présence n'est plus de ce monde, ils restent proches de nous.


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Douleurs chroniques


Par opposition aux douleurs aiguës, les douleurs chroniques se développent et persistent sur de longues durées pouvant aller jusqu’à plusieurs années. La douleur est considérée comme chronique lorsqu’elle persiste ou récidive durant plus de 6 mois sans répondre aux traitements habituels. 

Contrairement à la douleur aiguë dont la cause est identifiée et sert à nous indiquer un problème, la douleur chronique est inutile. De par sa persistance, elle affecte considérablement la qualité de vie et devient ainsi une la maladie à traiter, indépendamment de sa cause initiale. 

L’Organisation Mondiale de la Santé a récemment reconnu les douleurs chroniques en tant que maladie autonome en l’inscrivant dans la dernière version du système international de classification des maladies CIM-11, qui désormais intègre la possibilité de consigner les douleurs chroniques comme un diagnostic à part entière.

La douleur chronique peut être liée à une maladie, à une infection ou apparaître suite à un accident ou à une opération. Toutefois, lorsqu’elles ne peuvent expliquées par des processus organiques et que l’origine reste inconnue, on peut alors suspecter un syndrome de sensibilisation centrale de cause neurologique pouvant être causé par un dysfonctionnement du système nerveux résultant en l’amplification des informations nociceptives. 

Il convient de distinguer les douleurs chroniques secondaires, qui sont un symptôme d’une maladie et des douleurs chroniques primaires, où aucune cause évidente ne peut être identifiée. Les douleurs chroniques primaires incluent notamment des maladies comme la fibromyalgie ou le syndrome du côlon irritable ou le syndrome douloureux régional complexe (SDRC), également appelé algoneurodystrophie ou maladie de Sudeck. 

Le diagnostic de la douleur chronique consiste en un examen clinique et neurologique. Pour quantifier la douleur, on s'appuie sur des échelles établies sur la base d’un questionnaire complété par les patients. 

Les traitements non médicamenteux des douleurs chroniques peuvent recourir à des interventions médicales et ainsi qu’aux médecines douces ou parallèles, tel que l’hypnose dont l’efficacité est démontrée. En effet, la dimension psychologique est un facteur important dans la prise en charge de la douleur chronique qui comprend une part de subjectivité, la personne qui en souffre pouvant se sentir incomprise, voire niée dans sa souffrance. 

Si vous souffrez de douleurs chroniques, n’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus. 


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Confiance et estime de soi


Vous vous sentez mal ? Vous éprouvez un malaise dans vos relations ? Vous n’osez pas vous lancer ? Et vous ne savez pas comment nommer votre mal-être ? Est-ce un manque d’estime de soi ? Un manque de confiance en soi ? Un manque d’affirmation de soi ? Peut-être les 3 à la fois ? Voyons ensemble la nuance entre ces 3 notions : la réponse à vos interrogations se trouve peut-être ici. 

L’estime de soi, c’est la reconnaissance de sa propre valeur. La confiance en soi, c’est la reconnaissance de ses propres compétences. L’affirmation de soi, c’est la capacité à s’exprimer et à défendre ses droits sans empiéter sur ceux des autres. 

Nous sommes tous les artisans de notre confiance et notre estime de nous. 

Bien-sûr, il est préférable de la construire durant l’enfance, mais lorsque cela n’a pas été possible il existe la possibilité de se (ré)inventer, de se (re)construire, et de (ré) apprendre à s’aimer. On nous le répète souvent comme une injonction : « il faut que tu aies plus confiance en toi ! », « apprends à t’aimer toi-même, à prendre soin de toi » ! Toutefois nous sommes beaucoup à nous dire en silence : « c’est bien joli tout ça, comme si je n’y avais jamais pensé », Mais « comment on fait ?! ». Théoriquement c’est tout simple, mais dans la pratique force est de constater que nous sommes bien souvent démunis pour changer notre façon de penser, mais aussi de réagir à certains événements, certaines paroles prononcées qui nous touchent parfois bien trop fort. Rationnellement nous savons bien que notre réaction mais surtout notre ressenti est disproportionné, mais nous sommes impuissants à transformer ce qui se passe à l’intérieur de nous, à l’insu de notre plein gré. 

La haute sensibilité, si elle est un fabuleux tremplin pour l’épanouissement de soi comporte toutefois bien des défis. Et la construction de l’estime et de la confiance, alors que nous vivons des émotions intenses, alors que nous ressentons un décalage avec la plupart des gens, alors que nous sommes très empathiques et parfois peu préparés à recevoir les paroles qui manquent de bienveillance. Le coeur souvent bien trop ouvert et l’incapacité à concevoir la malveillance rend l’enfant, l’adolescent et bientôt l’adulte sensible bien vulnérable dans le monde qui sera alors perçu parfois comme étant cruel ou hostile. 

Toutefois il n’est jamais trop tard, les schémas répétitifs peuvent prendre fin, il est possible d’apprendre à s’aimer, à se protéger et à poser des limites, à n’importe quel âge. Comprendre, appréhender et assumer son profil hautement sensible est notamment une des clefs très importante pour vivre pleinement son potentiel et son don. 

Les techniques que nous utilisons sont connues pour apporter des solutions innovantes et adaptées à notre fonctionnement particulier. Il prend en compte les spécificités de votre personnalité et la vision du monde toute particulière qui en découle. Ne restez pas seuls avec votre souffrance, n'hésitez pas à demander de l'aide.


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Pathologies de l’hypersensibilité (SFM, SFC, MCS, EHS)


Les pathologies de l’hypersensibilité environnementale, regroupent des syndromes divers tels que la fibromyalgie, le syndrome de fatigue chronique, l’hypersensibilité chimique multiple, le syndrome de la Guerre du Golf, le syndrome de bâtiments malsains, l’électrohypersensibilité, ou encore le syndrome de l’intestin irritable. 

Ces syndromes sont également désignés sous la dénomination « d’Intolérance Environnementale Idiopathique » ou « troubles neuro-fonctionnels ». Ces maladies chroniques, systémiques et multifactorielles, sont d’étiologie inconnue mais les facteurs environnementaux sont régulièrement incriminés et les pollutions multiples sont selon toute vraisemblance à l’origine de ces maladies. Dans l’attente d’un consensus sur cette question, ces syndromes sont bien souvent considérés à tort comme des affections psychiques et classés dans les troubles psychosomatiques. 

En effet, les études ont échoué à démontrer l’origine psychologique de ces maladies et cette évidence est renforcée par l’inefficacité des traitements basés sur les thérapies cognitivo-comportementales. On peut donc affirmer que ces pathologies ne sont donc pas d’origine psychogène, ne relèvent pas d’hypochondrie ou de l’effet nocébo. 

Cependant, diverses techniques utilisées dans le cadre des thérapies brèves et des programmes de reprogrammation neurologique Gupta et DNRS ont donné des résultats encourageants chez certains patients. C’est pourquoi nous proposons au sein du Centre Anizen, d’accompagner les personnes souffrant de ces syndromes en ayant recours à ces méthodes. 

D’autre part, il semblerait que le terrain de l’hypersensibilité pourrait favoriser l’apparition de ces syndromes, ce qui ne veut pas dire que les personnes dont le terrain est normalement sensible soient à l’abri pour autant. La décompensation de ce terrain vers la maladie chronique installée, survient généralement suite à l’exposition d’un ou plusieurs facteurs environnementaux délétères combiné à des périodes d’important stress. 

Dans le cas de l’hypersensibilité chimique multiple ou de l’électrosensibilité, les symptômes des personnes affectées sont déclenchés par une exposition à de faibles doses de produits chimiques tels que les pesticides, les solvants, les parfums, les métaux lourds, des contaminants biologiques comme les moisissures ou par les rayonnements électromagnétiques. 

Dans les cas du syndrome de fatigue chronique, l’élément déclencheur est l’effort physique tandis qu’aucun facteur déclenchant n’a pu être identifié cadre de la fibromyalgie. Toutefois, il est intéressant de noter que ces maladies surviennent souvent suite à une infection virale ou bactérienne de type Epstein Barr Virus ou Borrelia burgdorferi. 

Les symptômes sont récidivants, aspécifiques, nombreux et affectent de multiples organes. Voici quelques exemples : 

  • douleurs musculaires et articulaires 
  • fatigue et épuisement chronique 
  • intolérance à l'activité physique 
  • troubles du sommeil 
  • troubles digestifs 
  • syndrome des jambes sans repos 
  • troubles de concentration et de la mémoire 
  • maux de gorge 
  • maux de tête et vertiges 
  • gonflement des ganglions lymphatiques 
  • stress et anxiété 

Le diagnostic des pathologies de l’hypersensibilité est un diagnostic différentiel, c’est-à-dire qu’il s’agit de de différencier la maladie d'autres pathologies qui présentent des symptômes proches ou similaires. Le diagnostic d'élimination ou d'exclusion permet ainsi d'identifier une maladie difficile à prouver et dont le diagnostic ne doit, ou ne peut, être fait qu'après l'élimination de toutes les autres causes possibles (plus urgentes, plus graves, ou plus facile à démontrer). 

Nous avons développé une expertise des pathologies d’hypersensibilités environnementales au sein du Centre Anizen et proposons un accompagnement permettant d’améliorer ces conditions. Vous pouver nous contacter facilement par e-mail ou par téléphone.


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